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Extraits choisis de mes films favoris

Souvenirs de cinéphile : chapitre 1 : comment je suis devenu cinéphile

Comment je suis devenu cinéphile ? En fait, en toute franchise, aucune idée.

Petit, j'adorais aller au cinéma du quartier en famille plus pour l'ambiance que pour les films que nous voyions : le rideau cachant l'écran couvert de pubs locales, la première partie avec documentaires, bande annonces, courts métrages et pubs qui petit à petit deviendront majoritaires voire omniprésentes. Et puis l'entracte avec l'ouvreuse et son panier rempli de friandises !!!

Les films, dans tout çà, j'en ai peu de souvenirs, films familiaux français essentiellement, les de Funès, les Charlots. Les souvenirs les plus marquants sont finalement pour les Disney que je découvrais soit en ressortie ("Blanche Neige et les 7 nains" ou "La belle et le clochard") soit en sortie nationale ("Les aristochats" ou "Le livre de la jungle".

En fait ,le premier souvenir marquant est "Bambi" parce que je le découvris non pas dans notre petit cinéma de quartier mais à Paris au Grand Rex qui présentait d'abord sa fameuse féérie des eaux. Plein les yeux!

 

Autre souvenir marquant d'une sortie parisienne, les champs Elysées et ce cinéma qui projetait "Certains l'aiment chaud", en vo et en noir et blanc. Alors là oui, quel choc :

Non, la cinéphilie viendra plus tard, au milieu des années 70, à force d'entendre mon grand frère parler de films inaccessibles pour moi, alors trop jeune, des films aux titres qui interpelaient ma curiosité ("Le trio infernal", "Phantom of the paradise").

Et puis, feuilleter le magazine "Première" que mon frère achetait alors et ce déclic sur 2 photos dans le magazine consacré au festival de Cannes 1977, "Trois femmes" de Robert Altman et une photo fascinante de 2 actrices hors normes (Shelley Duvall, Sissy Spacek) et "Une journée particulière" d'Ettore Scola et ses couleurs sépias tout aussi particulières, 2 films qui méritent bien un chapitre particulier.

Non, la cinéphilie viendra plus tard, au milieu des années 70, à force d'entendre mon grand frère parler de films inaccessibles pour moi, alors trop jeune, des films aux titres qui interpelaient ma curiosité ("Le trio infernal", "Phantom of the paradise").

Et puis, feuilleter le magazine "Première" que mon frère achetait alors et ce déclic sur 2 photos dans le magazine consacré au festival de Cannes 1977, "Trois femmes" de Robert Altman et une photo fascinante de 2 actrices hors normes (Shelley Duvall, Sissy Spacek) et "Une journée particulière" d'Ettore Scola et ses couleurs sépias tout aussi particulières, 2 films qui méritent bien un chapitre particulier.

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