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29 août 2010 7 29 /08 /août /2010 22:18
Et oui, voila un be lexemple d ustyle Blier que la France des années 70 découvre avec stupeur. Des dialogues crus mais drôles, 2 acteurs inconnus au physique improbable pour l'époque. "Les valseuses" divise la France, scandaleux pour certain, revitalisant pour d'autres.
Blier, appuyé par d'excellents comédiens inspirés par les dialogues et les situations droles et originales du cinéaste, choque les féministes avec "Calmos", les moralistes avec "Préparez vos mouchoirs" ou "Beau-père" et réjouit les fans de surréalisme avec l'un de ses meilleurs films "Buffet froid", road-movie meurtrier rempli de non-sens et d'humour noir :
Dans les années 80, Bertrand Blier provoque un nouveau tollé de protestation avec son nouveau triangle amoureux de "Tenue de soirée" où un malfrat pousse un loser à l'homosexualité et à la prostitution. Un film décapant, un Michel Blanc prodigieux, mais un film qui ose rire de l'homosexualité en pleine période du Sida, ça ne passe pas pour tous; Comme le disait justement l'affiche, "Tenue de soirée" est un putain de film :
C'est avec le film suivant "Trop belle pour toi", tout aussi culotté sur le fond (un mec plaque une beauté pour un boudin) mais plus classique sur la forme, Blier décroche un Grand Prix à Cannes et est couvert de Césars. Mais, moi je préfèle le Blier qui bouscule nos habitudes et nous offre un récit à tiroir plein d'humour et d'originalité comme "Merci la vie" sur les difficultés de vivre avec le Sida ou avec la guerre selon les générations et avec Blier, parfois les deux mélangés. "Merci la vie" est aussi le premier des 3 films que le cinéaste tournera avec la jeune actrice Anouk Grimberg, une actrice qui n'a pas froid aux yeux en enfant en mal d'amour dans "1 2 3 soleil" ou en prostituée au grand coeur dans "Mon homme" :
Aujourd'hui, Bertrand Blier est à l'affiche sur les planches parisiennes avec "Désolé pour la moquette", un Boudu au féminin si j'ai bien compris et sur les écrans français avec "Le bruit des glaçons". Dujardin et Dupontel succèdent à Depardieu et Deweare et sont tout inspirés l'un en écrivain alcoolique, l'autre dans le role de son cancer. Décidément, avec Blier, il faut touours être prêt à s'attendre à tout :
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22 août 2010 7 22 /08 /août /2010 10:17

Réference à l'article "quand les filles font leur show"après avoit vu "Tournée" d'Amalric, une amie m'a rappelé que les mecs aussi savaient se défendre côté show men, enfin certans.

 

Alors pour elle et pour toutes les lectrices de ce site, voilà des acteurs qui savent bouger :

 

Passons sur ces formidables artistes que sont Fred Astaire ou Gene Kelly, danseurs de formation et passons à la première star qu ifit craquer les filles de part ses mouvements de hanches évocateurs, the king Elvis Presley. Rappelons quand même au passage que seul "Le rock du bagne" de Richard Thorpe est digne de figurer sur mon blog. Elvis était avant tout un chanteur mais la scène suivante est inoubliable :

 

Les mecs ont quand même longtemps à s'y mettre mais quend ils se lachent comme Treat Williams dans "Hair", ils se lachent et c'est vraiment que du bonheur :
Bon, mais l'acteur américain qui nous a dévoilé ses talents de danseur régulièrement, c'est quand m^me Travolta. Roi du disco dans "Saturday night fever", rocker au grand coeur dans "Grease", on n'est surtout pas près d'oublier son numéro dans "Pulp fiction" face à la vénéneuse Uma Thurman :

 

Bon, le top du top, c'est quand mêm les mecs se prennent pour les filles comme dans "Priscilla, folle du désert" . Il fallait oser se prendre pour des reines du disco dans des costumes incroyablement kitsch de la part de ceux qui furent par la suite tueur e nqquête de vengeance dans "L'anglais", flic intègre dans "La confidential" ou méchant cloné dans "Matrix" :

 

 

 

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15 août 2010 7 15 /08 /août /2010 15:09

Sacré Nicolas, le voici à former "L'aprenti sorcier" dans un des nanars de l'été. Car, si Nicolas Cage est un acteur charismatique, il est surtout un sacré collectionneur de navets. Et pourtant, bien dirigé, cet acteur fait de pures merveilles. Un petit rappel donc des films de Nicolas Cage dignes de son talent.

 

Tout commençait bien dans les années 80 grâce à tonton Coppola qui le dirige entre autres dans "Peggy Sue s'est marié" . Mais, c'est avec le personnage de l'attachant copain de "Birdy" d'Alan Parker  qu'il séduit la première fois le grand public tandis que les frères Coen, eux aussi à leur début, révèle le côté allumé de l'acteur dans le déjà frappadingue "Arizona Jr" :

 

Lorsqu'il choisit bien ses scénarios, Nicolas Cage touche le jackpot : Oscar pour son rôle d'alcoolique dans "Leaving Las Vegas" de Mike Leigh, Palme d'or avec le thriller apocalyptique de David Lynch "Sailor et Lula", film où son charisme n'a jamais été aussi bien utilisé : L'homme à la veste de serpent se bat et chante pour sa bien aimée:
 

 

D'autres cinéastes ont su exploiter le talent de Nicolas Cage, John Woo dans "Volte face", Brian de Palma dans "Snake eyes" et même Martin Scorsese dans " A tombeau ouvert". En ambulancier frappadingue en pleine rédemption, il est excellent (avertissement : c'est Scorsese donc pour public averti seulement) :

 

 

Les dernières grandes compositions de Nicolas Cage sont pour moi le marchand d'armes de "Lord of war" d' Andrew Nicols et l'étonnnant double rôle des frères d'"Adaptation" de Spike Monke, la transformation physique la plus surprenante de Nicolas Cage :

 

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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 18:09

Oyez, oyez, cinéphiles parisiens, la cinémathèque française va projeter à la rentrée des films d' Ernst Lubitsch, maître de la comédie américaine.

 

Souhaitons que nous y verrons ces purs joyaux que sont :

 

"Sérénade à 3", comédie subtile et insolente sur une union à 3 :

 

 

 

"La 8ème femme de Barbe Bleue", réjouissante comédie aux situations comiques irrésistibles  :

 

 

 

"To be or not  to be", un film drôle et culotté puisqu'il dénonce le nazisme en plein dans les années 40 :

 

 

 

"Ninotchka" parce que les dialogues sont drôles et brilalnts et parce qu'il y a Garbo :

 

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8 août 2010 7 08 /08 /août /2010 18:45

Des couples mythiques qui ont marqué l'histoire du cinéma tant à la ville que sur l'écran sont légions. Non, moi ce qui m'intéresse aujourd'hui, ce sont ses acteurs et actrices qui (officiellement en tout cas) ne sont pas ensemble mais fonctionne tellement bien sur écran qu'on ne peut plus oublier leurs unions.

 

On commence très fort avec l'un des duos les plus flamboyants d'Hollywood. Rhett Butler et Scarlett O'Hara sous les traits de Clark Gable et Vivian Leigh sont à jamais dans mos mémoires de cinéphiles. Quelle passion avec ses espoirs et ses trahisons, indémodable :

 

Un autre classique avec un couple inoubliable " Casablanca". La beauté d'ingrid Bergman, le sacrifice d'Humphrey Bogart, comment résister ? :
Un petit tour e nItalie pour les années 60/70 ou 2 stars italiennes Marcello Mastroianni et Sophia Loren font des
merveilles dès qu'ils se retrouvent sur le grand écran, des comédies signées Dino Risi telles "Hier, aujourd'hui,demain" jusqu'aux amusantes retrouvailles dans "Prêt a porter" de Robert Altman. Mais la rencontre culminante date des années 70 dans le drame social d'Ettore Scola "Une journée particulière" ou Sophia Loren surprend e nménagère et où Mastroianni est superbe de sobriété en homosexuel. U ngrand classique du cinéma italien :

 

 

En France, 2 acteurs ont donné le meilleur d'eux-même devant la caméra de Téchiné dans 2 films où ils ne forment pourtant pas un couple. Frère et soeur aux relations fortes, complices et ambigues dans "Ma saison préférée", écorchés vifs épris de la même jeune fille dans "Les voleurs", les scènes entre Auteuil et Deneuve sont d'une grande intensité :

 

 

 

Cet été, si vous voulez voir un couple séduisant, Tom Cruise et Cameron Diaz font des merveilles dans une comédie d'aventures "Night and day". Le charme des 2 stars et l'osmose entre le charisme de l'un et l'humour de l'autre sont les atouts majeurs de ce sympathique blockbuster. Idéal pour les vacances :

 

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31 juillet 2010 6 31 /07 /juillet /2010 15:37

 Cette semaine, Arte nous a permis de découvrir un grand film muet de Fritz Lang "Les espions", formidable épopée d'espionnage, l'occasion pour moi d'évoquer ce cinéaste majeur avec en ouverture, une des nombreuses fameuses scènes du "Metropolis", film muet quasi mythique : 

 

C'est avec  ce film que le cinéaste allemand, s'impose comme le chef de file du cinéma allemand des années 20. Tout comme la série des "Dr Mabuse", formidable portrait du mal, reflet du nazisme montant en Allemagne et le fascinant portrait d'un tueur d'enfants "M le maudit" (cette façon de filmer l'enlèvement sans le montrer est une grande leçon de cinéma) :

 

.

 

 

Le mal sous forme du Nazisme,  Fritz Lang le fuit dans les années 30 pour se réfugier en France où il tourne quelques films comme "Liliom" et aux Etats-Unis où il réalise ses premiers chefs d'oeuvres humaniste tels "Fury" et "J'ai le droit de vivre", 2 films pour lesquels il trouve 2 comédiens en adéquation avec ses idées humanistes en la personne de Spencer tracy et Henry Fonda. D'autres réussites suivront dans des genres divers, le film noir avec "L'invraisemblable vérité, le western avec "L'ange des maudits" ou le film d'aventures avec "Les contrebandiers du Moonfleet" où le regard d'un enfant qui découvre que son héros est un truand :

 

 

 

 

L'aventure, encore et toujours, pour les derniers grands films américains de fritz Lang "Le tigre du Bengale" et "Le tombeau hindou", passionnantes aventures indiennes kitsch à souhait, à l'image de cette scène de danse:

 

 

 Dans les années 60, fritz Lang revient en Allemagne pour y tourner un nouveau volet des aventures du "Dr Mabuse". Le nazisme a été vaincu mais Berlin voit ériger le mur de la honte. Le mal est toujours là sous une autre forme, Fritz Lang achève son oeuvre avec le même pessimisme et le même goût pour l'aventure :

 

 

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27 juillet 2010 2 27 /07 /juillet /2010 18:14

Tout comme les striteaseuses du dernier Amalric "Tournée", les comédiennes ont souvent fait leur show dès que le scénario et/ou le metteur en scène leur permettait.

 

Voici mes women performers préférés :

 

Dans les années 40, Rita Hayworth dans "Gilda" : y'a pas grand chose à dire, y'a qu'à regarder. Le strip tease est à son minimum, juste les bas mais ça suffit pour nous rendre fou, pauvres hommes comme nous sommes. Quel numéro sexy, quel jeu de hanches :

 

Dans les années 50, Marilyn Monroe dans presque tous ses films : au moins tout ceux où elle chante, du gros noeud de la robe rosemoulante  des "Hommes prèfèrent les blondes" au pull tout auss i moulant du "Milliardaire" en passant par le ukulélé de "Certains l'aiment chaud", difficile de choisir ...
Dans les années 60, c'est un cinéaste français qui permet à ces actrices de faire leur show : Jacques Demy, qui fit danser Françoise Dorléac et Catherine Deneuve dans "Les demoiselles de Rochefort", qui fit chanter Danielle Darrieux dans "Une chambre en ville" ou qui filma Jeanne Moreau en blonde platine dans "La baie des anges". Mais mon choix se porte sur la délicieuse Anouk Aimée si attachante en danseuse paumée et fleur bleue dans "Lola". Son numéro chanté est du pur bonheur que même Romain Duris n'hésitera pas à parodier quelques années plus tard dans 17 fois Cécile Cassard", si,si, je vous jure !:
Dans les années 70, Liza Minnelli dans "Cabaret" : son personnage de la chanteuse fantasque Sally Bowles et ses numéros musicaux inclassables sont inoubliables à l'image du fameux  "Mein liebe herr". Merci monsieur Bob Fosse pour vos incroyables chorégraphies :
Près de 30 ans plus tard, "Chicago" une chorégraphie du génialissime Bob Fosse est brillamment adaptée au  cinéma. Renée Zellwegger surprend en danseuse de revue, mais c'est Catherine Zeta Jones qui se révèle digne héritière de Liza Minnelli dans ses numéros chantés. Comme son illustre ainée, l'actrice empochera un mérité Oscar :
Terminons donc par les show girls de "Tournée", film d'Amalric actuellement sur les écrans. les demoiselles ont du tempérament, du charme et de l'humour :
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24 juillet 2010 6 24 /07 /juillet /2010 22:13

Comme Abbas Kiarostami dans "Copie conforme", certains cinéastes n'héitent pas à casser le rythe de leur film en tranchant net dans leur scenario pour emmener le spectateur ailleurs où il croyait aller, système qui déboussole certes spectateur mais qui permet aussi à ces cinéastes d'imposer un style :

 

Sir Alfred Hitchcock : il n'est pas que le maître du suspense, il a aussi été u ndes premiers à déboussoler le public notamment dans "Vertigo" où le thriller se transforme e nétude psychologique lorsque l'héroïne tombe dans levide et que le détective tente de la retrouver à travers son soi-disant sosie. Maiis, Hitchcock a poussé le culot plus loin avec "Psychose" où il exécute ce que l'on croyait être son personnage principal dont on suivait les aventures depuis la première image du film. Et quelle exécution :

 

Michelangelo Antonioni : le cinéaste italien, reconnu comme père de l'incommunicabilité, n'a cessé de casser le rythme de ses oeuvres du photographe de "Blow-up" qui découvre un cadavre sur ses photos à la moitié du film, du reporter de "Profession reporter" qui change d'identité au héros d'"Identification d'une femme" qu ichange de regard en changeant de partenaire. Mais, tout celà n'est rien face à "L'avventura" où le sprotagonistes délaissent leur enquête pour vivre leur histoire d'amour. Rarement transition dans un récit n'aura fait couler d'encre. Le film fit scandale à Cannes mais repartit en toute justice avec la Palme d'Or :
Brian de Palma : à vouloir rendre hommage à Hitchcock, de Palma ne pouvait contourner ces ruptures de récit, justement dans les films qui évoquent "Vertigo" et  " Psychose", en l'occurence "Body Double" et "Pulsions". Mais De Palma, inspiré par Hitckcock, n'en restait pas moins dans ces exercices de style un fascinant cinéaste. dans "Pulsions", il reprend de nombreux éléments scénaristiques de "Psychose" mais rend aussi hommage à "Vertigo", notamment avec cette scène dans le musée : 
David Lynch : le maître de la rupture de ton et déboussolement assuré pour le spectateur. Phénomène de plus en plsu probant; "Inland empire" où l'on passe de la réalité au rêve puis au cauchemar à u nrythme incessant, "Mullholland drive" où les 2 héroines invertissent le rôle de bourreau et de victime ou "Lost highway" où la vie du héros bascule du tout en tout en l'espace d'une seconde :
Abbas Kiarostami : le cinéaste iranien vient donc de rejoindre contre toute attente le  club des cinéastes qui, d'une pirouette, nous emmène ailleurs en cours de projection. Dans "Copie conforme", l'écrivain et la galiériste ne disserte plus sur l'art mais règle leurs divergences de couple sous l'effet de la mérpise d'une serveuse. La plupart des gens trouve que le film prend alors son envol, perso je le trouve moins intéressant si ce n'est la superbe prestation de Juliette Binoche :
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11 juillet 2010 7 11 /07 /juillet /2010 09:43

A l'occasion de la sortie de "Toy Strory 3" cet été, revenons sur ces films d'animation qui plaisent tout autant aux grands qu'aux petits :

 

Fin des années 90, l'aventure commence avec "Toy Story" et avec "1001 pattes", irrésistible remake à peine déguisé des " 7samourais". Déjà à l'époque, sur fond d'une animation irréprochable, gags, satyres et clins d'oeil se bousculent comme le prove ce faux bétisier du générique de fin :

 

C'est aussi sur un faux bétisier que s'ouvre "Monsters and Cie", irrésistible aventures d'un oeil sur patte et d'un gros nounours bleu, chargés de faire peur aux enfants et donc à la délicieuse Boo; tro pcraquant même pour un adulte :
Les années 2000 s'ouvrent avec une aventure aquatique tendre et drôle "Le monde de Nemo" ou les aventures d'un petit poisson en quête de liberté. (Ah, l'apaprition de la petite fille tueuse de poissons sur fond de la musique de "Psychose"!) :
Mon pixar préféré, c'est "Ratatouille". Les aventures de ce rat cuisinier hors paire dans le Paris du siècle dernier est un régal d'animation et un bel hommage aux sens culinaires tellement ... so frenchy ! Et j'adore le frangin de Ratatouille, si catastrophique mais tellement bourré de bonnes intentions :
On termine avec "Wall E". Beau film écolo, tendre et drôle; la 1ère partie sur notre planète dévastée n'est pas évidente pour les enfants mais ça s'arrange lorsque notre héros se retrouve en orbite dans un monde encore plus étrange et inquiétant. Et on a droit a une belel histoire d'amour entre 2 robots, cool non ? :
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3 juillet 2010 6 03 /07 /juillet /2010 11:46

Le maître japonais est visible encore ce mois de Juillet 2010 à la cinémathèque française, occasion de revoir les chefs d'oeuvre de ce cinéaste japonais majeur.

 

Tout commença au début des années 50 avec "Rashomon", un choc dans la construction narrative et visuelle bouscula tous les codes d'alors et fit découvrir au monde occidental le cinéma japonais :

 

De nombreux chefs d'oeuvre vont alors se succéder , un drame social "Vivre", un policier "Chien enragé" , "Le chateau de l'araignée", étonnante transposition du Lady macBeth de Shakespeare dans l'univers féodal du Japon et surtout le plus connu "les 7 samourais", formidable épopée lyrique dont Hollywood fera pour une fois un remarquable remake en forme de western sous le titre "Les 7 mercenaires" :
Les années passant ,Kurosawa restera un maître du 7ème art comme en témoigne dans les années 70 le très beau "Dersou Ouzala", personnage inoubliable, extrêmement attacant et superbe hymne à la nature :

 

Les derniers films d'Akira Korasawa datent des années 80 : "Dreams", "ran" et surtout "Kagemusha", nouvelle épopée guerrière brillante et remarquable portrait psychologique :

 

 

 

Kurosawa rafla avec ses 4 films les plus prestigieuses récompenses,  1 Lion d'Or, l Lion d'argent, 2 Oscars et  1Palme d'Or, excusez du peu!

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